L’urgence de la livraison pour être prêt pour le bicentenaire de la révolution a conduit à des raccourcis coûteux pour la suite. L’État a engagé un procès pour malfaçon en 1991 contre les entrepreneurs en raison de la dégradation très rapide de la façade du bâtiment. Une dalle était tombée en 1990 et avait nécessité la pose de 5 000 m2 de filets de sécurité pour 530 000 euros. Avec la vétusté dûe au temps, les besoins du bâtiment pour les mises aux normes, notamment incendie, vont encore nécessiter 12 millions d’euros.
L’histoire se répète avec la Philharmonie… Budget explosé, malfaçons en raison de l’urgence de la date de livraison, etc.
Curieux et intéressant amalgame entre cette forteresse et son environnement.
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